mercredi 26 mars 2008

Vecteur d'expression

J'ai choisi de créer ce blog pour utiliser un nouveau moyen d'expression, accessible par tous ceux qui le souhaitent. Au même titre que beaucoup, j'aime écrire, et encore plus coucher mes idées sur le papier. Mais ce mode d'écriture est personnel, et bien souvent n'est lu de personne.
Mon idée est que, quitte à écrire, pour garder un souvenir d'une pensée, autant que cela pisse être enregistré, et partagé avec d'éventuels lecteurs.
Bienvenue, donc, dans cet espace d'échange.
Parfois, la tonalité de mes écrits pourra paraître engagée, militante, critique, voire cynique. Ce n'est que l'expression passagère du moment d'écriture. Mon désir profond est avant tout un questionnement, sur la vie, sur l'être humain et les rapports entre eux.
En effet, quoi de plus naturel, lorque l'on cherche une réponse à son bien-être social, que d'interroger le sens de certaines notions come, humain, humanité, spiritualité, philosophie, société, nature humaine, écologie, vérité, justice.
Je cherche le vrai, le juste, le bon, sur les pas d'un certain socrate, dans mon rapport à moi, aux autres et au monde.
Humblement, quoi qu'en dise le ton sur lequel je m'exprime, je couche mes pensées du moment, et je vous invite à partager votre ressenti à la lecture des thèmes que vous lirez. Que vous soyiez d'accord ou pas avec mes propos, s'il vous plaît, laisser moi vos impressions, vos arguments ou contre-arguments, afin que je puisse faire évoluer ma réflexion, et plus globalement, pour alimenter le débat.
Aussi, je vous remercie chaleureusement, et vous prie de me laisser vos coordonnés blogs ou mail, si vous souhaitez que nous puissions échanger plus avant.

jeudi 6 mars 2008

S'embrouiller le cerveau avec l'informatique

Comme bon nombre, je me suis retrouvé devant mon ordi, tout fier propriétaire d'une machine dont j'ignore les mécanismes de fonctionnement.

J'ai bien de solides bases logicielles sur la suite office, mais le reste me semble un vaste univers incompréhensible.

Mon père, informaticien, mais pas pédagogue, doit être pour quelque chose à mon ignorance, mais bon...

Du coup, curieux de nature, et peut-être aussi un peu radin, quand j'ai un problème, je m'informe sur les sites d'assistance informatiques.

Vous savez, les sites comme :
commentcamarche.net
malekal.com

etc...

Et là, c'est horrible la mine d'infos que l'on trouve, horrible!!!

On sent le poids de son ignorance immédiatement. Dans un premier temps, je n'ai rien compris au vocable des informaticiens, mais je me suis accroché, un cerveau n'est-il pas fait pour apprendre?

Dans un second temps, j'ai commencé à y voir plus clair, maintenant je comprends ce qui se dit, mais je me rend compte qu'il me manque encore l'essentiel : le hardware, la programmation, etc...

Je ne saurais que trop conseiller à ceux qui comme moi se sont lancés dans la passionnante aventure de la toile numérique, pour la découverte, pour les informations, pour les facilités, pour la modernité, etc... de s'informer, de se former et de s'intéresser à ce qui se passe dans ce cerveau artificiel qu'est l'ordinateur.

vendredi 15 février 2008

St valentin, roi du commerce?

Comment s'est passsée la fête des amoureux? a t-on fait le beau cadeau plein de coeurs à son ou sa chérie?

Avez vous pensé, que montrer son amour n'est pas une question de prix, mais de sentiments, et que cela devrait s'exprimer tout au long de l'année.

En tout cas, j'espère que vous n'avez pas trop enrichi le secteur commercial classique, mais que vous aurez préféré les petits artisans, le fleuriste du coin...

Quitte à se sentir obligé de faire un cadeau, normes sociales obligent, autant que cela soit le moins possible un geste "commercial".

Il est tout aussi sympa de se préparer une soirée en amoureux, avec chandelles et cie, au lieu d'aller au restaurant, et préparer ensemble, un petit repas de derrière les fagots, que l'on pourra manger, les yeux dans les yeux, sans être dérangé par le serveur, sans avoir à faire attention à ce que l'on boit, et en terminant la soirée à notre aise, si vous voyez ce que je veux dire.

A condition de trouver une nounou pour les enfants....RÂÂÂÂ

jeudi 14 février 2008

Où est t'y l'été, l'été où est t'y?

Ce sont des paroles de Boby Lapointe, cet auteur ignoré parce que chansonnier du calembour, dédaigné par l'académie française. Pourtant, ses textes, s'ils n'ont aucune portée philosophique, sont malgré tout des écrits d'orfèvre. Certains jeux de mots sont gros, d'autres subtils, certains nécessitent toute l'attention lors des premières écoutes, mais tous sont recherchés et amenés d'une façon inatendue et toujours avec bonhommie.

Ce n'est pas là que je voulais en venir.

Aujourd'hui, cela fait une semaine que nous avons un temps printanier. Autant cela est agréable, autant cela me laisse perplexe.

Où est l'hiver? Que sont les saisons devenues?

Quand je pense à tous ceux qui jardinent et qui vont devoir lutter contre certains "nuisibles" du potager, parfois avec des produits qui méritent bien le nom de poison (Et qui n'empoisonnent pas que leurs cibles!), cela me fait froid dans le dos. Car les bouleversements climatiques ne sont pas directement perceptibles à celui qui ne vit pas en rythme avec la nature. Mais lorsque l'on jardine, que l'on fleuri ses balcons et jardins d'agrément, que l'on cherche à cultiver un potager, ou même à observer certains phénomènes naturels saisonniers, on se demande quels repères sont encore valides.

J'ai depuis trois semaines des crocus qui fleurissent sur mon terrain, alors qu'ils n'arrivent en général qu'au mois de mars, et plutôt à la fin qu'au début. Les larves qui devraient être détruites par le gel sont plus grosses et nombreuses que jamais. C'était le cas l'année dernière, alors que l'hiver était plus rude. Je n'ose pas imaginer ce qu'il en sera cette année.

Malgré ce questionnement, qui ne m'est pas personnel, il est délicat de trouver un consensus dans la communauté scientifique à propos du réchauffement climatique. Lorsque certains tirent la sonnette d'alarme, d'autre affirment que c'est un phénomène cyclique dans l'histoire de la vie sur terre, et que tout cela n'est pas ou peu imputable à l'activité humaine.

Evidemment, ce dernier argument est critiquable, puisque nulle autre période n'a connu une population humaine aussi importante et technologiquement avancée (encore que, les égyptiens, pour ne citer qu'eux, ont eu une technologie prospère en leurs temps, et l'avenir montrera peut-être que ce que nous appelons progrès est en fait une régression sur le plan de notre rapport à nous, aux autres et au monde...). Du coup, il est probable que ce type de scientifiques ne soit pas tout à fait objectif, et peut-être à la solde d'intérêts économiques qui voient d'un mauvais oeil la percée des protecteurs de la nature.

Toujours est-il que je me réjoui de savoir que cela reveille les esprits, et que derrière les sourires que fait naître le soleil ces derniers jours, se cache un questionnement, une perplexité, une incompréhension des évènements climatiques.

Mais que peut on faire, une fois ce questionnement né? Comment agir, avec qui?

Se questionner n'est pas amener des réponses. Or rien n'effaie plus l'esprit faible, qu'une question sans réponse. Nous avons besoin de rassurance, face à tous ces repères qui tombent, et pas seulement dans la nature...

Pour ma part, le doute est salvateur, car, loin d'avoir des réponses, je sais ce que je ne sais pas, et suis ouvert à toute nouvelle information. En attendant d'avoir une opinion (éthymologiquement, il s'agit d'un "pré-jugé"), j'accumule des données pour lesquelles je n'oserais donner d'avis, ou les qualifier de vérités.

Malheureusement, nous avons tendance, cela m'arrive malgré moi trop souvent, à adhérer trop vite à certains raisonnement qui apportent des réponses toutes faites, pour peu qu'elles ne dérangent pas trop notre train train quotidien.

Fuyons les réponses dogmatiques et axiomatiques au profit d'une recherche, d'une expérimentation, et d'un retour sur expérience, qui sont bien plus sécurisant que la politique de l'autruche. La révolution c'est cela, se retourner sur soi même, et les astres ne font que cela, des révolutions à longueur de temps, sans pour autant que cela engendre la moindre violence, la moindre brutalité.

Révoltez vous, la sagesse n'est pas indolence mais action, réaction.

L'action vraie, juste et bonne, voilà 2000 ans que l'on connaît l'adage... Et pourtant, je ne suis pas certain que nous soyions plus avancés, collectivement, sur le plan philosophique, pour ne pas dire spirituel. Je crois que l'humanité, encore à un stade animal, s'apparente plus à un adolescent (voire même un enfant) qu'à un adulte!!

Prenons exemple sur les autres règnes, pour vivre et exister, il nous faut la vie, et celle-ci a des règles, ne serait-ce que biologique. Sans respect pour la vie en général, et donc pour la nature, nous nous condamnons nous mêmes.

Après moi le déluge, pensent certains... Ce sont des meurtriers par procuration, qui laissent à leurs enfants le soin d'appuyer sur la gachette, ou de racheter leurs écarts et d'assumer une responsabilité qu'ils n'ont pas choisi.

Pensons à nous, soyons réellement égoïstes, et nous nous respecterons plus, nous ne chercherons plus le passionnel, le pulsionnel, le facile, mais l'hygiène de vie, l'intégrité, le détachement (qui n'est pas du désintérêt). Soyons égoïstes, et nous serons bons pour nous comme pour les autres. L'individualisme n'est pas encore à son apogée, puisqu'il ne flatte encore que la superficialité de l'être. Le vrai individualiste, égoïste, pourrait être celui qui sait ce qui est bon pour l'être humain...

Enfin, ne vous sentez pas obligés de passer par là, il est possible de transcander cela.


Mais comment je fais pour écrire cela, j'arrête de laisser mes doigts courrir sur le clavier et je vais réfléchir à ce que j'ai écrit (ben oui, si j'avais fait le contraire, à l'heure qu'il est je n'aurais jamais rien écrit, et probablement jamais réfléchi non plus...allez savoir)

mercredi 13 février 2008

Naissance d'Aodren

Bienvenue à Aodren,

J'ai passé la soirée d'hier avec mon viel Ami Simon, Papa d'un petit Aodren depuis hier 14 heures 30. Voir ainsi un jeune Papa me rappelle tant de souvenirs. Mon fils, Taô a déjà cinq!!!
Je me rappelle cette sensation bizarre, lorsque je me suis retrouvé seul à la maison, le premier soir, après sa naissance.
J'avais beau être fatigué, je me sentais dans un état indescriptible, que connaissent, semble t-il, beaucoup de papas, lors de la naissance de leur premier enfant. Une espèce d'euphorie, mais sans réaliser tout à fait, et un vide dans la maison, auquel il est difficile de s'habituer.
Je ne sais pas si on se rend déjà compte que rien ne sera plus comme avant, et qu'avec cette naissance, naissent aussi les parents (enfin, je leur souhaite!).
Je me suis aperçu qu'en croyant elever son enfant, on se fait une fausse idée. Je crois que ce sont eux qui nous apprennent à être parents.
A ce propos, j'ai toujours été ému par le texte suivant :
"Vos enfants ne sont pas vos enfants.
Ils sont les fils et les filles de l’appel de la Vie à elle-même.
Ils viennent à travers vous mais non de vous.
Et bien qu’ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.

Vous pouvez leur donner votre amour mais non point vos pensées,
Car ils ont leurs propres pensées.
Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes,
Car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter, pas même dans vos rêves.
Vous pouvez vous efforcer d’être comme eux, mais ne tentez pas de les faire comme vous.
Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s’attarde avec hier.

Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés.
L’Archer voit le but sur le chemin de l’infini, et Il vous tend de Sa puissance pour que Ses flèches puissent voler vite et loin.
Que votre tension par la main de l’Archer soit pour la joie ;
Car de même qu’Il aime la flèche qui vole,
Il aime l’arc qui est stable.

(Khalil Gibran, "Le prophète")
Comment mieux dire ce qu'est ce rapport, ce lien, entre l'enfant et ses parents? Ces êtres qui nous viennent ne sont pas là par hasard, et je suis intimement convaincu qu'une explication purement génétique ou physique masquerait la beauté de la réalité :
Ce n'est pas en ayant conscience de l'outil qu'on comprend l'objet!

lundi 11 février 2008

c'est quoi la justice?

Supposons deux humains, en parfaite santé physique et mentale (pas de droite, donc! non je plaisante!), mais l'un étant musclé et grand, et l'autre petit et sec. Supposons encore que l'on envoie ces deux êtres vivre sur une île déserte, avec suffisemment de vivres pour tenir la durée du séjour qu'on leur impose. Imaginons, les télé-réalités nous y aide, qu'il n'y aie pas de soucis sanitaires.

Qu'est ce qui serait juste?
  • Qu'ils se répartissent la nourriture en parts égales? Au risque que l'un aie trop et grossisse s'il mange tout (et donc nuis à sa condition physique), que l'autre soit privé du minimum qui le maintiendrait en forme, au seul bénéfice du principe d'égalité.
  • Qu'ils se répartissent la nourriture en terme de besoins, pour maintenir la qualité nutritionnelle de chacun, au bénéfice de l'équité?

Je me permet cette image, discutable, irréaliste, certes, mais parlante, pour illustrer l'un des principe fondamentaux qui devrait diriger la justice, les besoins de chacun, à titre individuel, collectif, et donc international. Cela me semble être la notion d'équité...

A bon entendeur, salut!

dimanche 10 février 2008

Manger bio?

Que signifie manger bio? cela at-il un sens?
Alors que mon coeur m'oriente depuis des années vers le bio, je n'ai jamais pris le temps de modifier mes habitudes de consommateur. Pourtant, je suis intimement convaincu du bon sens de la démarche bio.
Acheter des produits bio est plus cher. C'est du moins l'argument récurrent des consommateur. Pour ma part, j'estime que cette idée mérite d'être discutée. Si l'on se réfère pour une alimentation conventionnelle aux comparatifs de prix bio et produit de grande consommation, il est clair que l'on va exploser son budget en achetant du bio. Mais un produit fini (type findus) en bio, est-ce raisonnable? Comment peut-on faire le choix du bio et ne pas avoir une attitude bio en rapport. Il n'est pas normal de consommer des tomates en hiver dans le nord de la France, pourtant on trouve des tomates dans le commerce toute l'année, y compris dans les réseau d'alimentation bio. Mais avoir la démarche de consommer bio devrait empécher l'achat de tels produits hors saison, même si on a les moyens de se payer des tomates bio qui viennent de l'autre bout du monde. En effet, quel sens cela at-il de vouloir consommer un produit, qui, s'il est de qualité, n'en a pas moins fait dépenser énormément d'énergie pour son transport. N'est-ce pas en soi une attitude paradoxale. Du coup, une attitude cohérente doit être de mise dans les comparatifs. Il doit s'agir de produits de saison, produits dans la même zone. Du coup, la différence de prix est sensiblement réduite. D'autant plus que les légumes ne représente pas la part la plus chère du panier alimentaire.
Mais cette notion de coût doit être analysée au regard du coût global, et pas seulement par rapport à ce qui sort du porte-monnaie du consommateur. En effet, acheter bio, c'est avoir une attitude éco-citoyenne. Quand on parle de pouvoir d'achat, il faut se rendre compte que ce que l'on dépense, c'est du pouvoir d'achat. Il passe ainsi du consommateur au vendeur. Peut-on se regarder en face, en tant qu'éco-citoyen, lorsque l'on donne du pouvoir à des gens sans scrupule, qui eux n'ont pas une démarche éco-citoyenne mais bien mercantile? Ainsi, il convient de regarder à qui l'on donne de l'argent, dans nos actes de consommation. Proner des idées bio ou écolo doit se faire par le témoignage de nos actions (ce qui n'est pas toujours mon cas, par ailleurs! mais au moins j'en suis conscient.)
Ce que je traduit par l'assertion initiale du coût supérieur du bio, ce n'est pas que cela soit réellement plus cher, mais que cela demande des efforts (qu'ils soient financiers ou comportementaux). Et là est bien la problématique. Il est plus aisé de se retrancher derrière l'argument des prix, que de reconnaître notre peu de liberté dans l'acte de consommation. A l'heure actuelle, peu de gens peuvent se targuer d'avoir le budget qui leur permette de faire ce choix, éco-conscient, de consommation. Quand je parle de budget, il ne s'agit pass seulement d'un capital financier, maius aussi d'un capital temps, d'un capital culturel.
ëtre éco-citoyen aujourd'hui, c'est être informé. Or le circuit d'information actuel est centré sur les gros médias qui, par essence, soutiennent une démarche capitaliste, et non pas éco-citoyenne. Dès lors, l'éco-citoyen lambda est quelqu'un capable de s'informer et de gérer objectivement les informations. Il s'en suit que les couches cultivées de la populations sont seules capables de faire partie de ce mouvement. Il ne s'agit pas d'un milieu social, mais bien d'un milieu culturel. Car, entre les bourgeois bohèmes et les "babas-cool", les différences sociales peuvent être des fossés. Entre ceux qui fonctionne sur une implication plus ou moins liées à la mode et les convaincus, une autre marge existe. Mais ce temps de maturations, de reflexion, nécessaire à l'agir juste, est un luxe que peu peuvent se permettre dans la société esclavagiste moderne.
Le fonctionnement économique des grandes nations démocratiques est paradoxal, balancé entre deux courants axiomatiques que sont la droite et la gauche, plus ou moins extrémistes. Il n'existe pas de réel refexion de fond, aux niveau nationaux, sur la fonction de la société, sur le rapport à l'autre. Lorsque l'on regarde les influences géo-politiques, on s'aperçoit d'un mécanisme similaires, où le confort des grandes nations se fait au détriment des pays en développement, plus ou moins indépendants, mais dont l'unique but (semble t-il) n'est pas un monde plus juste mais d'obtenir le même rang que les nations riches.
je démarre cette réflexion, mais j'imagine bien la détailler, la préciser, et l'enrichir d'une recherche partagée, avec mes amis, mes connaissances, et ceux qui avec moi, préfère s'inscrire en témoin de leur actes plutôt qu'en moralisateur. Je ne souhaite pas donner de leçons, je souhaite accéder à une information que je maîtrise, qui soit pratique, et transférable pédagogiquement. Je suis scéptique concernant tout changement brutal, tout ce qui se fait de façon unilatérale et sans discussion, envers tout ce qui ne nous rend pas humain.



Et voilà, nous avons terminé le crépis mi novembre, juste avant les premières grosses gelées. Trois semaines et demi nous ont été nécessaires pour terminer cet harrassant travail.
Dans un premier temps nous avons enlevé ce qui restait de l'ancien crépi, puis nous avons mis le gobettis, une ccouche de corps d'enduit et enfon la passe de finition colorée.
Il me reste à nettoyer les abords de la maison et à refaire un abri à bois.
quelle sera la suite? la véranda, pour fermer la terrasse? des garages entérrés pour avoir au dessus un bout de terrain plat en plus? un nouveau systême de chauffage?

Inch'Allah!

jeudi 7 février 2008

Dans les fleurs, la vie




Observer les fleurs, de leur germination jusqu'à ce qu'elles fanent, offre de belles heures de contemplation. Quand on pense q'une graine, qui peut être passé par une longue période hors sol, par le tube digestif de certains oiseau, va pouvoir germer, cela nous donne une bel image de la persévérance. Dans cette petite chose qui paraît sèche et morte, un principe de vie est présent et attends son heure. Si l'on imagine toutes les stratégies développées par le règne végétal pour assurer sa survie, dans des conditions tellement différentes, on ne peut qu'être admiratif des potentialités de la vie.
Mais quand on voit la vie que ce règne permet, en elle, sur elle, et grace à elle, alors, on peut commencer à imaginer un rapport à la nature qui soit plus juste.
"Parler de poésie en écrasant les fleurs sauvages" (Barbara), résume bien le peu d'humanité des humains (ou présumés tels!)
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Merveilles




Il m'arrive de jouer un peu avec l'appareil photo, en utilisant le mode macro. Cela me permet de conserver l'hiver, devant les yeux, l'image de ces plantes qui ont égaillé les saisons de l'année écoulée.
Je reste ébahi par la finesse et la beauté des fleurs, et de leurs couleurs.